Pharmacie la Fleurie, à Lempdes

Effets secondaires

  • Augmentation de la pression artérielle : Des cas d'hypotension orthostatique ont été signalés chez des patients recevant de l'estramustine par voie orale (20 mg trois fois par jour), principalement chez des patients ayant des antécédents d'hypotension orthostatique (réduction de la pression artérielle lors du passage d'une position couchée ou assise à une position debout). Une hypotension orthostatique peut survenir chez les patients recevant de faibles doses de corticoïdes (voir rubrique 4.4). En cas de signes d'hypotension orthostatique, le patient doit être mis en position couchée et les doses de corticoïdes doivent être diminuées (voir rubrique 4.4). L'association de l'administration de l'estramustine à celle d'autres médicaments peut aggraver l'hypotension orthostatique. Le traitement par estramustine ne doit pas être initié chez des patients traités par des bêtabloquants (voir rubrique 4.4).
  • Maladie de Hodgkin : Une incidence de maladie de Hodgkin a été rapportée chez des patients recevant de l'estramustine (20 mg trois fois par jour). La plupart des cas étaient récidivants et de grade 3. Le traitement par estramustine peut entraîner des effets indésirables sur les résultats des tests de laboratoire. Par conséquent, une surveillance des tests de laboratoire doit être envisagée.

Effets indésirables de la grossesse

  • Cas de mort in utero : Des cas de décès in utero ont été rapportés à partir des données du registre des grossesses de 2001 à 2007. Des grossesses extra-utérines ont été rapportées chez des femmes recevant de l'estramustine (20 mg trois fois par jour).
  • Cas de malformations : Des cas de malformations congénitales ont été rapportés chez des enfants dont la mère avait pris de l'estramustine par voie orale (20 mg trois fois par jour) pendant la grossesse. Il n'a pas été établi si ces malformations sont associées à l'utilisation de l'estramustine.
  • Cas de syndrome d'hyperstimulation ovarienne : Des cas de syndrome d'hyperstimulation ovarienne ont été rapportés chez des femmes recevant de l'estramustine par voie orale (20 mg trois fois par jour).

Effets indésirables de la poursuite du traitement par estramustine chez la femme enceinte

  • Carcinome pulmonaire : Des cas de carcinome pulmonaire ont été rapportés chez des femmes recevant de l'estramustine (20 mg trois fois par jour) pendant la grossesse, et un nombre accru de cas de carcinome pulmonaire a été rapporté à partir de l'analyse de la population du registre des grossesses de 2001 à 2007. La plupart des cas étaient de grade 3. Il n'a pas été établi si ces cas sont associés à l'utilisation de l'estramustine.
  • Cancer du sein : Des cas de cancer du sein ont été rapportés chez des femmes recevant de l'estramustine par voie orale (20 mg trois fois par jour) pendant la grossesse. Un nombre accru de cas de cancer du sein a été rapporté à partir de l'analyse de la population du registre des grossesses de 2001 à 2007.

Cas d'ostéomalacie : Une ostéomalacie a été rapportée chez des enfants ayant reçu de l'estramustine par voie orale (20 mg trois fois par jour). Une ostéomalacie peut être le premier signe d'une ostéoporose (voir rubrique 4.4).

  • Cas d'hypocalcémie : Des cas d'hypocalcémie () ont été rapportés chez des patients recevant de l'estramustine (20 mg trois fois par jour).
  • Effets indésirables de la poursuite du traitement par estramustine chez l'enfant et l'adolescent

    • Carcinome hépato-cellulaire : Des cas de carcinome hépato-cellulaire ont été rapportés chez des enfants et des adolescents ayant reçu de l'estramustine par voie orale (20 mg trois fois par jour).
    • Hépatite : Des cas d'hépatite ont été rapportés chez des patients recevant de l'estramustine (20 mg trois fois par jour).
    • Hypercalcémie : Des cas d'hypercalcémie ont été rapportés chez des patients recevant de l'estramustine (20 mg trois fois par jour).

    Effets indésirables de la poursuite du traitement par estramustine chez les patients adultes

    • : Des cas de carcinome pulmonaire ont été rapportés chez des patients recevant de l'estramustine par voie orale (20 mg trois fois par jour).
    • : Des cas de cancer du sein ont été rapportés chez des femmes recevant de l'estramustine par voie orale (20 mg trois fois par jour).

    Effets indésirables de la poursuite du traitement par estramustine chez les patients adultes et enfants

    • Syndrome d'apnée du sommeil : Des cas de syndrome d'apnée du sommeil ont été rapportés chez des patients recevant de l'estramustine (20 mg trois fois par jour).
    • Autres : Des cas d'atteinte rénale aiguë ont été rapportés (voir rubrique 4.4). Les patients souffrant d'insuffisance rénale chronique ou d'insuffisance rénale aiguë n'ont pas été étudiés. Des cas de néphropathie interstitielle ont été rapportés (voir rubrique 4.4). Des cas d'atteintes musculaires () et d'atteintes cutanées () ont été rapportés chez des patients recevant de l'estramustine par voie orale (20 mg trois fois par jour).

    Affections du rein et des voies urinaires : Des cas de néphrite interstitielle aiguë (), de nécrose rénale aiguë (), d'ulcères de la vessie (), de cristallurie () et de dysurie ont été rapportés chez des patients traités par estramustine. Des cas de troubles de la fonction rénale ont été rapportés (voir rubrique 4.4). Une réduction de la fonction rénale ou un dysfonctionnement rénal a été fréquemment observé chez les patients souffrant d'insuffisance rénale chronique ou d'insuffisance rénale aiguë (voir rubrique 4.4).

    Affections hépatobiliaires : Une augmentation du nombre de cas d'hépatite a été rapportée chez des patients recevant de l'estramustine (20 mg trois fois par jour).

    Affections psychiatriques : Des cas de dépression, de manie et de confusion ont été rapportés chez des patients traités par estramustine. Les patients traités par estramustine doivent être surveillés de manière appropriée en cas de survenue d'une aggravation de la dépression, de l'apparition d'une manie, de symptômes psychotiques ou d'une confusion.

    Conduite de véhicules et utilisation de machines :

    Des vertiges ont été rapportés chez des patients recevant de l'estramustine. Il est déconseillé de conduire un véhicule ou d'utiliser des machines jusqu'à ce que vous soyez certain(e) que ce médicament n'a aucun effet sur votre capacité à conduire des véhicules et à utiliser des machines (voir rubrique 4.8).

    Des cas de réactions cutanées graves ont été rapportés (incluant la dermatite exfoliative [voir rubrique 4.4], syndrome de Stevens-Johnson [voir rubrique 4.4] et nécrolyse épidermique toxique [voir rubrique 4.4]).

    La ménopause est la maladie la plus fréquente chez les femmes. Les femmes ont de la même chance que les hommes, mais le risque de développer une ménopause est beaucoup plus élevé. En effet, la ménopause, avec un certain nombre d’études, est le plus souvent une déception, un stress et une dépression. Cependant, cette maladie peut avoir un impact négatif sur la qualité de vie. Si vous vous souvenez d’une ménopause après la ménopause, nous vous conseillons de consulter un médecin, de demander la consultation d’un gynécologue, ou de contacter directement votre médecin.

    Comment réduire le risque de ménopause?

    En réalité, lorsqu’elle survient chez une femme présentant un ménopause, une augmentation de la santé peut réduire la durée de l’essoufflement, voire la durée de la dépression. Cela peut entraîner un risque de développer des maladies d’origine médicale. Dans cet article, nous sommes intéressés à la réduction de la fréquence et de la durée de la ménopause et à la dépression qui sont des facteurs de risque. Enfin, nous vous recommandons de prendre soin de votre santé, de faire vos recherches et de vous assurer de savoir comment vous soigner.

    Pour que les médicaments soient efficaces pour soigner les troubles de la ménopause, il est indispensable de consulter un médecin. En effet, tout médicament contre la ménopause est susceptible d’augmenter les risques de ménopause, surtout dans les situations d’urgence.

    Le traitement de la ménopause

    Le traitement de la ménopause est un médicament très efficace pour traiter les mêmes symptômes que les autres affections périnatales. Dans de rares cas, les médicaments de la classe des hormones ménopausées peuvent réduire l’efficacité de certaines de ces médicaments. Cependant, certaines de ces médicaments ne peuvent pas être utilisés correctement pour traiter les symptômes de la ménopause.

    Les médicaments utilisés pour soigner la ménopause

    Les médicaments comme le paracétamol, l’éthinylestradiol et la drospirénone peuvent réduire la durée de l’état de la ménopause. Cependant, ces médicaments peuvent être utiles pour soigner certains troubles de la ménopause. C’est pourquoi, nous vous recommandons d’utiliser un médecin avant de commencer un traitement médical pour réduire la durée des symptômes. Il peut être nécessaire de consulter un médecin, pour éviter les effets secondaires associés au traitement médical.

    Le traitement hormonal substitutif (THS) de la ménopause

    Il s’agit d’un traitement de la ménopause qui présente des effets secondaires indésirables. Cependant, certaines femmes qui prennent des traitements hormonaux d’autres types de médicaments peuvent avoir besoin de recherches complémentaires afin d’évaluer leur efficacité et leur profil de santé.

    Abonnez-vous à vous informer sur les effets de la prise de médroxyprogestérone (Générique) ou de l'estrogel, la prise de sang ou du test hormonal sur la fonction thyroïdienne. 

    Vous avez d'autres questions ou préoccupations concernant les médicaments que vous prenez. 

    Comme tous les médicaments, une fois que vous avez ou que vous n'auriez pas été concerné par ces effets, ne vous inquiétez pas, c'est-à-dire pas que vous ressentez des symptômes, vous ne devez prendre qu'une dose par jour. Si vous avez des symptômes, demandez conseil à votre médecin ou votre pharmacien.

    Surtout, vous pouvez prendre une dose supplémentaire de médroxyprogestérone (Générique) par jour. Votre médecin peut vous recommander un régime alimentaire et une activité physique adaptée. Vous ne devez pas prendre plus de 40 mg d'estradiol (estradiol progestative) par jour pendant qu'il s'agit de symptômes de cancer. Vous devez vous demander si vous avez été opéré ou non, si vous avez pris des médicaments ou si vous avez des doutes sur la sécurité du patient et le traitement que vous pourriez prendre. 

    Au début, vous devrez prendre le médicament de façon concomitante. Si vous commencez à prendre un médicament à la dose habituelle, prenez la dose prescrite par votre médecin. Prenez la dose la plus faible possible et respectez les doses les plus faibles. Votre médecin peut vous recommander un régime alimentaire adapté pour votre santé. Votre médecin peut vous proposer des suppléments à base de plantes. Ne pas prendre le médicament à jeun ou en une prise unique par jour. Ne prenez pas plus d'un comprimé par jour, si vous oubliez une dose, ou s'il est nécessaire de le prendre. Ne prenez pas plus de 30 mg d'estradiol par jour pendant que vous prenez le médicament. Vous devrez prendre toutes les doses quotidiennes et respecter les posologies les mieux adaptées. Ne prenez pas plus de 60 mg d'estradiol par jour pendant que vous prenez le médicament.

    Parlez-en à votre médecin ou à votre pharmacien pour savoir si vous pouvez prendre la médroxyprogestérone (Générique) ou l'estrogel. 

    Si vous êtes une personne ayant des antécédents d'hyperplasie bénigne de la prostate, vous pouvez le prendre avec de la médroxyprogestérone (Générique) en une prise unique. 

    Si vous êtes un patient sur de longues périodes, vous pouvez le prendre avec de la médroxyprogestérone (Générique) en une prise unique. 

    Si vous êtes un patient sur de longues périodes, vous pouvez le prendre avec de la médroxyprogestérone (Générique) en une prise unique. 

    Si vous prenez des médicaments pour la prostate, vous pouvez le prendre avec de la médroxyprogestérone (Générique) en une prise unique.

    Les médicaments contenant des hormones sexuelles (estradiol et progestérone) sont de nombreux facteurs et d’ordre, dont le risque de cancer du sein n’est pas prouvé. Cela peut être à l’origine d’un surrisque cardio-vasculaire, d’un maladie chronique ou d’une prise de certains médicaments dans le sang. Mais le risque cardiaque est d’autant plus important que l’on parle d’un surdosage, car la plupart des médicaments contenant des œstrogènes, tels que le progestatif, le méthyle ou le diltiazem, sont dangereux. C’est pourquoi les médicaments contenant de l’estradiol et du progestatif sont souvent préférés comme médicaments de première ligne (les médicaments à base d’œstrogènes sont plus fréquemment utilisés), et ce pour une prévention (les médicaments à base d’estradiol et du progestatif, comme les pilules contraceptives, sont très peu utilisés).

    La régulation des résultats

    Avant l’âge de 50 ans, les patients qui sont en surpoids ou qui souffrent de maladies cardiovasculaires (par ex. cardiopathie) doivent suivre un régime alimentaire pauvre en œstrogènes pendant quelques jours.

    • Le traitement des résultats de l’étude sur le plan cardio-vasculaire est bien compris chez les patients qui ont des résultats préliminaires (par ex. les patients qui ont reçu une dose initiale de 5mg de progestatif).

    • Il s’agit d’un nombre élevé de réponses cardio-vasculaires et cardio-vasculaires et aucune différence de risque cardiovasculaire entre le groupe ayant reçu le traitement et le groupe ayant reçu l’un des traitements de la ménopause ou des traitements chirurgicaux.

    • Le traitement peut être répété et les médicaments peuvent être nécessaires.

    Lors de l’étude sur le plan cardio-vasculaire, il est étonnant que les médicaments contenant du progestatif ne soient plus en mesure d’évaluer l’impact potentiel de la prise de l’estradiol. En effet, l’œstrogène et le progestatif ne sont pas responsables d’un surdosage, tandis que l’estradiol est un régulateur de l’activité testostérone qui, pour sa part, peut être responsable de la réduction du risque cardio-vasculaire.

    Réduire l’impact cardio-vasculaire

    En effet, un surdosage de progestatif, c’est-à-dire de la progestérone, provoque un effet de réduction du risque cardiovasculaire, en particulier chez les patients qui ont de la ménopause, ou chez les hommes présentant un risque élevé d’infarctus du myocarde ou d’accident vasculaire cérébral.

    Les résultats de l’étude montrent que les niveaux de progestérone sont supérieurs à la normale de près de la population générale (environ 50 %) et que le risque de cancer du sein augmente avec l’âge.